Pr Antoine Béchamp : un scientifique visionnaire et son influence sur l’iridologie

Pr Antoine Béchamp : un scientifique visionnaire et son influence sur l’iridologie

Pr Antoine Béchamp : un scientifique visionnaire et son influence sur l’iridologie

Découvrez ce grand Homme de renommée mondiale, connu comme précurseur d’idées modernes  : le Pr Antoine Béchamp.

Antoine Béchamp est né le 15 octobre 1816 à Bassing, en Moselle, où son père exerçait comme meunier. Grâce à son oncle maternel, consul de France en Roumanie, il part à 11 ans suivre des études à Bucarest.

Malheureusement, son oncle est mort d’une épidémie de choléra en 1834, ce qui a contraint Béchamp à retourner en France. Il a alors obtenu le titre de Maître en Pharmacie et un certificat élogieux le qualifiant de « sujet exceptionnel« .

Tout en travaillant dans une pharmacie de Benfeld, ayant suivi ses études en roumain jusqu’à lors, il a dû réapprendre le français. Mais également reprendre ses études en France afin de se faire une situation pour épouser sa fiancée Françoise Clémentine Mertian (les fiançailles durèrent 7 ans et on comprend bien pourquoi). En 1846, il a ouvert une pharmacie à Strasbourg.

Il a poursuivi ses études en faculté et a présenté trois thèses remarquées pour devenir Docteur en Pharmacie en 1851 avec « De l’air atmosphérique, considéré sur le point de vue de la physique, de la chimie et de la toxicologie », Docteur en Sciences (Physique et Chimie) en 1853 avec « Recherches sur pyroxyline en chimie, De la chimie et de la toxicologie » et Docteur en Médecine en 1856 avec « Essais sur les substances albuminoïdes et sur leur transformation en urée ».

Après avoir été Agrégé de l’école de Strasbourg où il a enseigné la physique, la chimie et la toxicologie jusqu’en 1856, il fut nommé professeur de Physique et de Chimie à l’université de Montpellier où il a enseigné pendant 20 ans. 

Le Professeur Antoine Béchamp est une référence avec son approche des microzymas

Antoine Béchamp et ses recherches 

Tout en enseignant pendant vingt ans, Antoine Béchamp poursuit ses recherches sur la pébrine, la fermentation du vin et la transformation des sucres par les moisissures. Son fils aîné, Joseph, participe à ses travaux.

En 1858, Béchamp est le premier à démontrer que les moisissures qui accompagnent la fermentation sont des organismes vivants ou en contiennent.

C’est six ans avant que Pasteur ne parvienne aux mêmes conclusions. Premier à réaliser que ces ferments sont des organismes vivants, il est aussi le premier à tenter de déterminer leur véritable nature. Il observe au microscope une grande diversité dans l’aspect des moisissures et s’engage rapidement dans l’étude de la vie cellulaire.

En 1876, Antoine Béchamp devient le Doyen de la faculté libre de médecine de Lille, où ses travaux se heurtent à l’hostilité des autorités ecclésiastiques. Suite aux différends qui l’opposent à Louis Pasteur à partir de 1881, il doit démissionner de son poste en 1888, et son fils fait de même.

Il achète alors une pharmacie au Havre, ville natale de l’épouse de Joseph. Mais au décès de son fils, il part s’installer à Paris, où il poursuivit ses expériences dans un laboratoire de la Sorbonne mis à sa disposition par un de ses amis, Charles Friedel. Laboratoire où il y travaillera jusqu’en 1899.

Béchamp, en plus de ses travaux en chimie et biochimie, a élaboré la théorie des microzymas, qui sont les plus petites particules de vie que l’organisme humain possède et qui se réorganisent sans disparaître après la mort de l’individu.

Il a également présenté la théorie cellulaire (polymorphisme), selon laquelle les maladies transforment les microbes en agents pathogènes.

Plusieurs scientifiques ont par la suite confirmé l’existence des microzymas de Béchamp qu’ils ont observés et nommés de différentes manières : Royal Raymond Rife (particules polymorphes, 1920), Günther Enderlein (protites, 1925), Wilhelm Reich (bions, 1930), et Gaston Naessens (somatides, 1959), et plus récemment, le Pr. Montagnier (mycoplasmes, 1990).

Les micro-organismes deviennent des pathogènes ou des symbiotes qui vivent avec nous en fonction du terrain ou de la « santé » de l’individu.

Dans des conditions normales, il y a 10 fois plus de cellules bactériennes que de cellules symbiotes dans notre corps.

D’autres découvertes ont montré qu’il y a beaucoup plus de micro-organismes que ce que la médecine enseigne, mais qu’ils ne sont pas détectés par les techniques validées et apparemment obligatoires de la microbiologie.

Il suffit de les observer avec un autre microscope, ce qui remettrait en cause la théorie de Pasteur et du micro-organisme pathogène. Mais la communauté scientifique est-elle prête  à assumer cette escroquerie qui n’a duré que trop longtemps ?

La nutrition de Bernard Jensen intégrée les Jus

Antoine Béchamp et son héritage

Les travaux de Béchamp sont considérables, mêmes si ces derniers ne sont pas connus du Grand Public.

Voici quelques points qui reprennent sa théorie :

  • Les maladies sont causées par des micro-organismes présents à l’intérieur des cellules de l’organisme.
  • Ces micro-organismes ont une fonction normale de développement et de contribution aux processus métaboliques de l’organisme.
  • Toutefois, leur fonction peut changer pour participer aux processus de dégradation (catabolisme) de l’organisme hôte lorsque celui-ci est endommagé, que ce soit de manière chimique ou mécanique.
  • Les micro-organismes ont la capacité de changer de forme et de couleur pour s’adapter à leur environnement.
Antoine béchamp a une autre vision du virus
 

  • Chaque maladie est liée à un état spécifique de l’organisme.
  • Les micro-organismes deviennent « pathogènes » lorsque la santé de l’hôte se détériore, ce qui en fait l’agent causal principal.
  • La maladie se développe à partir de conditions malsaines à l’intérieur de la cellule

Il s’éteint le 15 avril 1908 à Paris, à son domicile dans le 5ème arrondissement.

En juillet 2017, le Professeur André Fougerousse, chimiste de renom et ancien Doyen de la Faculté de chimie de l’Université de Strasbourg, a écrit une lettre ouverte au ministre français de la santé, déplorant les « dogmes erronés de Pasteur » et appelle à ce que les travaux de Béchamp et Tissot soient repris avec les moyens modernes par des chercheurs indépendants. Ceci avant toute cette folie qui se déroulera dès mars 2020 …

En janvier 2019, un article intitulé « Multi-Method Characterization of the Human Circulating Microbiom » (Caractérisation multi-méthodes du microbiome circulant humain) a discrètement présenté le concept de populations microbiennes dans des zones traditionnellement « stériles » telles que le sang comme une idée nouvelle. Cependant, ceux qui connaissent les travaux de Béchamp savent que ce concept n’est pas nouveau.

Début 2023, Céline Ripoll, l’une des descendantes d’Antoine Béchamp, se réjouie que son ancêtre soit encore « un peu connu ». Elle fait également part de la souffrance toujours palpable au sein de la famille face à l’injustice subie et à l’imposture de Pasteur.

Cependant, je souhaite qu’elle sache que l’héritage d’Antoine Béchamp se perpétue parmi les naturopathes qui le considèrent comme un « Gardien du Vivant » et ses travaux sont encore enseignés aujourd’hui.

Qu’elle sache que pour nous tous, « Pasteur est le passé, Béchamp est l’avenir« .

Antoine Béchamp croyait en la valeur de la vérité par-dessus tout, et sa vie et son œuvre continuent d’être honorées en conséquence.

Le temps est l’allié de la Vérité.

Acte de décès du Pr Antoine Béchamp

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Dr Bernard Jensen : Découvrez la Grande Famille de l’Iridologie moderne

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Découvrez ce grand Homme de renommée mondiale, connu pour son expertise en iridologie et en nutrition : le Dr Bernard Jensen.

Effectivement, le Dr Bernard Jensen a été un pionnier en matière de santé naturelle pendant plus de soixante-dix ans. Il est considéré comme l’un des médecins naturopathes les plus reconnus dans le monde entier.

Né de parents d’origine danoise, Eugen et Anna Jensen, Jorgen Bernard Jensen vu le jour le 25 mars 1908 à Stockton, une petite ville rurale de l’une des vallées agricoles les plus riches de Californie. Et non, il n’était pas un extraterrestre tout droit venu d’une planète éloignée.

Malheureusement, la mort soudaine de sa mère, emportée par la tuberculose, alors qu’elle n’avait que 30 ans. laisse les trois enfants seuls avec Eugen Jensen, leur père.

Dans ses conférences, Bernard a rarement mentionné son père, l’a décrit simplement comme un homme très strict et analytique. Il était chiropraticien. Peu d’informations ont été consignées au sujet des premières années de Bernard à Stockton, ni à propos de son frère et de sa sœur. 

Jensen a commencé sa carrière de Chiropracteur à l’âge de 21 ans, après avoir obtenu son diplôme du West Coast Chiropractic College. A l’époque, il ne souhaite pas devenir médecin.

Il obtient le diplôme du Pacific College of Naturopathic Physicians, faisant de lui également un Docteur en Naturopathie. Il a pratiqué et étudié auprès de nombreuses personnalités telles que le Dr Benedict Lust (considéré comme le père de la naturopathie), le Dr John Tilden, le Dr John H Kellogg et le Dr VG Rocine. Au fil du temps, son intérêt pour la santé naturelle est devenu si intense qu’il a décidé de se consacrer entièrement à la guérison holistique.

Bernard Jensen a parcouru les régions les plus reculées à travers plus de 65 pays. Il était à la recherche du secret de la longévité et d’un état de santé psychophysique durable. Deux concepts qui s’avèrent malheureusement se perdre dans la réalité du monde occidental. Au cours de ses voyages, il a rencontré des peuples isolés pour découvrir leurs modes de vie et leurs pratiques de guérisons traditionnelles.

C’est ainsi qu’il a développé une grande expertise dans des domaines tels que la nutrition, la digestion, la flore intestinale, l’iridologie, la chiropraxie et la guérison holistique, et il a travaillé sans relâche pour promouvoir ces approches de soins de santé alternatives.

Notamment les soins intestinaux, l’hydrothérapie, le jeûne, la réflexologie, l’homéopathie, l’herboristerie, la polarité, l’acupuncture et l’équilibre glandulaire.

Le Dr Jensen a également écrit de nombreux livres sur ces sujets, qui sont encore aujourd’hui une référence pour de nombreux professionnels de la santé et pour les personnes recherchant des solutions de santé naturelles. Le Dr Bernard Jensen a consacré plus de 70 ans de vie à la pratique, à l’étude et à l’enseignement de la guérison holistique, en se concentrant principalement sur la nutrition.

Bernard Jensen, iridologue américain formidable

Bernard Jensen & son utilisation de la nutrition

Le Dr Bernard Jensen a consacré plus de 70 ans de vie à la pratique, à l’étude et à l’enseignement de la guérison holistique, en se concentrant principalement sur la nutrition. Son utilisation principale de la nutrition couvrait tous les aspects de la guérison nutritionnelle.

Il a utilisé les jus comme thérapie de guérison, en particulier pour les patients les plus malades qui ne peuvent tolérer que des liquides. Jensen leur fournissait du bouillon, du jus de carotte, des tisanes et du lait de chèvre frais, puis regardait ses patients reprendre des forces.

Même lorsque ses patients étaient capables de tolérer les solides, il a continué à inclure des jus dans leur régime alimentaire. Le Dr Jensen a également écrit de nombreux livres sur ces sujets, qui sont encore aujourd’hui une référence pour de nombreux professionnels de la santé et pour les personnes recherchant des solutions de santé naturelles.

Jensen a découvert que ses patients les plus malades étaient incapables de tolérer autre chose que des liquides.

Il leur donnait du bouillon, du jus de carotte, des tisanes et du lait de chèvre frais, puis regardait ses patients reprendre des forces.

Même lorsqu’ils étaient capables de tolérer les solides, il a continué à mettre en œuvre des jus dans le cadre de leur thérapie. Ce qui

Dans son livre, Jensen souligne que les aliments ne guérissent pas. Ils fournissent simplement les ressources nécessaires au corps pour se guérir.

La nutrition de Bernard Jensen intégrée les Jus

Bernard Jensen & son utilisation de la Naturopathie

Le Dr Bernard Jensen a dirigé plusieurs sanatoriums en Californie, où il a mis en place des programmes qui mettaient l’accent sur le nettoyage des tissus et des intestins, la médecine botanique, la nutrition et l’équilibre entre les différentes parties d’une personne (spirituelle, mentale et physique).

Comme dans de nombreux sanatoriums de son époque, il a encouragé une alimentation saine, un bon exercice, une réduction du stress et un repos suffisant comme éléments clés d’une bonne santé.

Le Dr Jensen a insisté sur le traitement de la personne dans sa globalité et non pas simplement sur le traitement de la maladie.

Il a ainsi intégré deux principes fondamentaux de la médecine naturopathique, à savoir l’identification et le traitement de la cause de la maladie, ainsi que l’accompagnement de la personne dans son ensemble.

En se concentrant sur ces principes, le Dr Jensen a réussi à traiter efficacement de nombreuses maladies chroniques et à aider de nombreux patients à retrouver une meilleure santé globale.

Bernard Jensen & son utilisation de l’iridologie

En effet, le Dr Jensen a joué un rôle fondamental et fut l’un des pionniers de l’iridologie aux États-Unis. Cette science qui porte son attention sur l’étude de l’iris de l’œil pour déterminer l’état de santé et le terrain biologique d’une personne.

Il a pratiqué et enseigné l’iridologie dans le cadre d’un plan global visant à comprendre l’état de santé d’un patient. En examinant les différentes marques, couleurs, couches et zones de l’œil d’un individu, il a démontré que l’iris de l’œil est comme une télévision du corps, révélant les conditions applicables telles que l’inflammation.

Le Dr Jensen a donc utilisé l’iridologie comme un outil de diagnostic pour évaluer la santé globale de ses patients et proposer un plan de traitement personnalisé.

Bernard Jensen a traité avec succès de nombreux patients dans ses sanatoriums et ranchs de santé, et a été un leader d’opinion dans la science et l’application de l’iridologie.

Sa cartographie est, aujourd’hui encore, l’une des plus utilisées au monde.

Le Dr Jensen a offert des programmes de formation approfondie et une certification en iridologie aux médecins et praticiens du monde entier, contribuant ainsi à la diffusion de cette pratique.

Il a publié plus de 50 livres couvrant un large éventail de sujets de santé naturels, y compris la santé du côlon, les jus, les herbes et la nutrition.

Tout comme il a reçu des prix mondiaux de distinction et de reconnaissance pour son travail dans le domaine de l’iridologie et de la nutrition, ainsi que pour ses services à la communauté mondiale.

Citons par exemple, qu’en 1953, il a reçu la médaille d’or Ignantz Von Peczely International Iridology à San Remo, en Italie. En 1982, il a reçu le prix du médecin pionnier de l’année de la Fédération nationale de la santé. De même qu’il a reçu le prix Pax Mundi pour la paix mondiale en 1984.

Le Dr Bernard Jensen nous offre sa cartographie, fruit du travail de toute une vie

Bernard Jensen & son message

Le 22 février 2001, le Dr Bernard Jensen est décédé à presque 93 ans.

Ayant accompagné plus de 350 000 patients dans le monde, ses succès sont innombrables. Et il mérite d’être reconnu aux côtés des autres grands guérisseurs dans le domaine de la médecine nutritionnelle. 

Le Dr Jensen croyait fermement que l’iridologie associée à la nutrition est la meilleure thérapie unique à appliquer dans les arts de la guérison holistique et que « nous devons traiter le patient, pas seulement la maladie ».

Ce qui rend différente la Naturopathie de la Médecine.

Ainsi, nous lui sommes reconnaissants pour ses contributions à la communauté de la santé holistique et pour son engagement à améliorer la qualité de vie des personnes à travers le monde.

Nous offrant par la même occasion, une meilleure compréhension des lois de la Création.

L'héritage du Dr Bernard Jensen nous offre une clf de compréhension sur les Lois de L"Univers

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Iridologie antique et des initiés : à la découverte des pratiques ancestrales de la lecture de l’iris

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Les Egyptiens et l'Oeil

L’iridologie est une méthode qui permet d’observer l’Iris, cette partie colorée de l’œil, pour mieux comprendre les marges de progression et les possibilités d’adaptation de chaque individu.

Cette pratique n’est pas nouvelle, car elle remonte au 1er siècle avant Jésus-Christ, voire même à la plus haute Antiquité.

Aujourd’hui, l’iridologie continue de susciter l’intérêt de nombreux adeptes qui cherchent à mieux comprendre leur corps et leur esprit grâce à cette méthode ancestrale.

Tout d’abord, il faut savoir que l’examen de l’iris était déjà pratiqué par les anciennes civilisations telles que les Égyptiens, les Indiens, les Chinois et les Grecs, qui l’utilisaient pour évaluer la santé et la personnalité des individus.

Carte de la Chaldée
Les Chaldéens

Ainsi, les prémices de la diagnose de l’iris nous améneraient en Chaldée où les maladies étaient identifiées en analysant l’état des yeux des patients.

Les Chaldéens (également connus sous le nom de Kaldu), étaient des tribus sémitiques qui ont probablement étaient liés aux  Araméens.

Cette civilisation, se trouvant dans la région de Babylone, vivait avec la certitude que le microcosme était à l’image du macrocosme.

Là, semblerait apparaître, la notion d’une projection du corps de l’homme à travers l’iris.

D’ailleurs, il est déjà possible, à cette époque, de rencontrer des représentations d’un homme enroulé à l’intérieur d’un cadran zodiacal.

Symbole qui va se transmettre à travers les époques et franchissant les frontières et civilisations.

Frise provenant https://histgeolb.blogspot.com/2013/10/les-periodes-de-lhistoire.html
Les Egyptiens

Toutefois, il semble que tout ce savoir circula également sur les terres de l’Egypte antique. Là où nous pouvons retrouver le Papyrus de Carlsberg.

Un papyrus médical égyptien rédigé en hiératique (la sténographie de l’époque) détenu par la Fondation Carlsberg et déposée à l’Institut égyptologique de l’Université de Copenhague.

Il semble dater de – 1 500 à – 1 400 ans avant Jésus Christ et relate la vertu des Plantes.

Nous retrouvons également dans les annales des Pharaons, Pepi-Ankh-Or-Iri. Il est le premier médecin occuliste et iridologue identifié. Nous savons également qu’en plus d’être savant, il était également astrologue. Mais aussi qu’il ajouté à sa pratique ophtamologique, l’approche de la santé intestinale. Nous nous trouvons aux alentours de – 3 000 avant Jésus Christ.

Papyrus d'Ebers

L’Egypte apporte beaucoup d’éléments sur les pratiques de la médecine pratiquée.

Ce qui est également le cas à travers, le Papyrus d’Ebers provenant d’une  blibliothèque du Ramesséum (en face du Louxor). Papyrus également rédigé en hératique. Il est l’un des plus longs documents retrouvés concernant l’Egypte antique (20 mètres x 30 cm). Il est daté à environ – 1 550 avant Jésus Christ.

Il s’agit d’un guide présentant le plus grand réservoir de renseignements médicaux de l’époque antique. Il indique  l’ensemble de la pathologie pour un médecin dans sa pratique quotidienne, avec les prescriptions correspondantes.

L’Oeil était un symbole très fréquent dans l’Histoire de l’Egympte.

Nous pouvons penser à l’Oeil du dieu faucon, Horus, qui est également appelé l’Oeil Oudjat, qui signifie « complet ».

Après la mort d’Osiris, son frère Seth a pris le pouvoir en Egypte. Horus a voulu venger son père et est parti en guerre contre son oncle.

Après de nombreuses batailles, Seth a été vaincu et Horus a repris le trône d’Egypte. Cependant, Horus a perdu un œil lors d’une bataille, mais il a été reconstitué en six morceaux par Thot et rendu à son propriétaire.

Depuis, l’Oeil Oudjat est devenu le symbole de la victoire du bien sur le mal. En outre, cet œil représente également l’entier, la santé et l’intégrité, et était utilisé en Egypte comme un porte-bonheur pour se protéger contre les maladies. Et du « mauvais œil » …

Oeil d'Horus symbôle de la Victoire du Bien
Les Grecs

Puis ce savoir semble être présent en Grèce en la personne d’Hippocrate (-460 av. J.C. –  -477 av. J.C.). Qui n’a plus besoin d’être présenté. Beaucoup savent qu’il est le père fondateur de la médecine occidentale. Son célèbre adage « Tels sont les yeux, tel est le corps » est une référence chez les Iridologues.

Hippocrate est décrit comme le premier sensualiste, qui a libéré la médecine des dogmes et inventé la médecine d’observation.

Toutefois, il faut attendre le 18ème siècle pour voir émerger en France la médecine d’observation d’origine hippocratique.

Le Parthénon symbole de la Grèce Antique

Aristote (384 – 322) a, lui aussi, étudié les yeux et la vision, notamment dans ses travaux sur les sensations et les sensibilités. Où il aborde la question de la perception visuelle et son rapport avec les mouvements des yeux.

Il avança également l’hypothèse que les yeux des nouveaux-nés étaient toujours bleus.

Cependant, il faudra attendre 1951, pour voir le Docteur Ziegelmayer publier un article dans la revue médicale allemande Die Heilkunst qui confirma la théorie d’Aristote (avec un taux d’exception particulièrement bas). 

Les Chinois

Il est intéressant de savoir qu’en Médecine Traditionnelle Chinoise, l’art du diagnostic par l’Iris était également connu par les Anciens.

Le Neijing (également appelé le Classique interne de l’Empereur Jaune) est un texte de référence en Médecine Traditionnelle Chinoise. Il enseigne que « le Foie s’ouvre aux yeux ».

Il indique également que le visage et les yeux sont le lieu du corps où se rassemblent le Qi et le Sang des douze méridiens et des 365 collatéraux.

Il est troublant que toutes ces civilisations eurent accès très tôt à toutes ces informations sans pour autant permettre à l’Iridologie de prendre sa juste place dans l’approche préventive.

Nul doute qu’au sein de la cité impériale nous aurions pu accéder à de nombreux travaux remontant depuis l’origine de la Cité.

En effet la MTC est d’une puissance inouïe au coeur de la population. D’ailleurs, elle représente environ 30 % du C.A. de l’Industrie pharmaceutique de la Chine.

La MTC aborde également l'importance des yeux
Les Templiers

L’Occident traverse des siècles de ténèbres et de barbaries à travers les guerres et les colonisations. L’iridologie semble tomber dans l’oubli. 

Toutefois, tel un fil d’Ariane, il semble toujours y avoir des initiés.

Basique de Vézelay

Le mystère demeure autour des Templiers, bâtisseurs des Cathédrales. Il est troublant de retrouver dans le tympan de la Basilique de Vézelay, arrière pays dijonnais, une sculpture de « l’homme enroulé » qui ressemble à la projection du corps humain enroulé dans l’iris. Tout comme les représentations retrouvées bien loin de là.

Les Européens

Les Européens voient arriver plus tardivement l’Iridologie dans le paysage des chercheurs à travers les travaux de Ignàc Peczély.

Cependant, Paracelse qui est né (1493 – 1541) en Suisse Centrale, devient un médecin-chirurgien innovateur en thérapeutique.

Il est également un philosophe de la Nature, et un théoricien du Grand Tout : animé par le désir de pénétrer la nature profonde des choses, il est attiré aussi bien par la Nature que par le royaume de Dieu.

C’est à lui que l’on doit le Principe de signature.

Enfin, pour conclure ce voyage à travers les époques. N’oublions pas de parler de Phillipus MEYENS, médecin allemand qui sera véritablement le premier à publier en Europe. Eviron 200 ans avant les travaux scientifiques du célèbre hongrois Peczély.

En 1670, dans son ouvrage « Physiognomia medica », il divise l’iris en zones qu’il associe à des organes et parties du corps de l’homme.

Paracelse

« Considérez l’œil dans la tête, avec quel art il est construit,

et comment le corps a imprimé son anatomie dans son image. « 

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Dr Ignác Péczely : Découvrez la Grande Famille de l’Iridologie moderne

Dr Ignác Péczely : Découvrez la Grande Famille de l’Iridologie moderne

Dr Ignác Péczely : Découvrez la Grande Famille de l’Iridologie moderne

En premier lieu, au-delà de l’iridologie moderne, il faut dire que nous retrouvons les traces de l’étude de l’iris dans différents pans de l’Histoire.

Néanmoins, il semble que le véritable initiateur de l’iridologie, connu à une époque plus récente, soit le Dr Ignác Péczely (Ignaz von Péczely : en allemand). Autrement dit, il s’agit bien ici de vous présenter le « père » de l’Iridologie moderne.

A vrai dire, plusieurs versions circulent sur la toile concernant une certaine anecdote concernant une rencontre faite durant son enfance.

Alors oui, celle qui raconte qu’à l’âge de 10 ans, von Péczely en essayant de libérer un hibou pris au piège dans un buisson de son jardin, lui casse accidentellement l’une de ses pattes. 

Ainsi, le jeune von Péczely s’est occupé de sa patte, apportant des soins à l’oiseau le temps de sa convalescence.

De même, d’autres versions indiquent qu’il avait 11 ou 12 ans. A vrai dire, accordons-nous sur le fait que la rencontre eut lieu durant sa préadolescence. En somme, nous remontons aux alentours de 1836.

Image de Ignace Van Peczely

Le jeune Ignàc eut une belle l’opportunité d’apprendre directement de la Golden Girl

De même qu’une autre variante parle d’une chouette. En un mot, nous sommes nombreux à savoir que « hibou » prend un x lorsqu’ils sont plusieurs. Cependant, saviez-vous que l’on distingue le hibou d’une chouette par la présence de ses aigrettes (faisant penser à des oreilles) ? Ce qu’elle n’a pas.

Quoi qu’il en soit, ils appartiennent bien à la même classification scientifique des « strigidés ». Alors chouette ou hibou, le jeune Ignàc eut une belle l’opportunité d’apprendre directement de la Golden Girl. Là est le principal. 

Non pas de savoir distinguer les deux oiseaux mais bien d’accéder à une connaissance provenant directement de mère Nature. A savoir que ce n’est pas si extraordinaire que cela pour l’Homme qui est en harmonie avec son environnement.

Par ailleurs, nous faisons également face à plusieurs versions concernant la patte cassée du hibou. Et il est difficile de confirmer les faits. Digne des meilleurs créateurs de série de chez Netflix ou Universal studios, vous pouvez choisir à votre convenance ce qui fait plus « sensation ».

Tout d’abord, il est dit que l’oiseau se serait cassé la patte en tentant de sortir du buisson. De même, d’autres écrits indiquent que le jeune Ignàc l’aurait cassé maladroitement en tentant de libérer l’oiseau de ce buisson.

Il y a aussi cette version du jeune Ignàc tentant de libérer l’oiseau du buisson qui se retrouve à devoir faire face aux griffes redoutables plantées dans la main. Et dans un mouvement emplit de colère et de douleur, le jeune garçon tentant de se libérer des griffes de l’oiseau, lui aurait cassé la patte.

En conséquence, difficile de savoir précisément comment cette rencontre eut lieu. Toutefois, une seule version existe : Ignác Péczely a observé, dans un premier temps, une bande noire apparaître sur l’iris de l’animal à 6 heures suivant un cadran horaire.

De plus, à force d’observations, il aurait vu cette tâche s’atténuer au fur et à mesure de la convalescence de l’oiseau. Pour constater, plus tardivement, l’apparition de lignes blanches et tordues dans la partie de l’oeil en lieu et place de la bande noire initialement apparue.

Cette anecdote du hibou blessé à la patte est souvent citée lorsque l’on parle d’Iridologie moderne

Cette expérience de blessure puis de guérison, il l’aurait gardée en tête longtemps après. Toutefois, il faut souligner que l’oiseau est resté dans son jardin pendant plusieurs années. Il semble que ses colocataires ne lui aient pas fait sentir quelconque danger. Permettant de poursuivre sa vie paisiblement en harmonie avec ce coin de nature.

Certes, cette anecdote du hibou blessé à la patte est souvent citée lorsque l’on parle d’Iridologie moderne et d’autant  plus lorsqu’il est question de mentionner Ignác Péczely.

Effectivement, cette anecdote peut amener un certain folklore. Pourtant la vie de von Peczely ne se résume pas à cet événement d’adolescence. D’ailleurs, il y aurait tellement à dire !

Péczely vit ainsi affluer chez lui de nombreuses personnes, dont Imre Madách qui lui fit part de ses symptômes

Pour commencer, Ignác Péczely est né le 26 janvier 1826 à Egervár près de Budapest en Hongrie. Après avoir obtenu son diplôme universitaire, il s’est engagé, à 20 ans, dans la révolte hongroise de 1846 qui amena à la guerre d’indépendance de 1848.

Dans les grandes lignes, il semble qu’il fut promu Chef des volontaires du comté de Sopron avant de rejoindre la Garde Nationale. Alors qu’il participe à plusieurs batailles dont la bataille de Nagyszombat, il se blesse.

De nouveau, deux versions apparaissent. Tout d’abord, la première indique qu’il s’y serait fait prisonnier jusqu’en 1853. Tandis qu’une autre version, met en scène sa mère qui défie tous les dangers pour le ramener chez lui après sa blessure ou son arrestation. Cela étant, Ignàc semble amorcer une transition.

Finallement, après la défaite de la guerre d’indépendance, il part s’installer à Kaposvár et vit des revenus qu’il perçoit à travers son activité de photographe. Puis devient professeur d’art dans un lycée et enfin géomètre.

Ensuite, il retourna en 1861 chez ses parents à Egervár, alors qu’il a 35 ans. Ce qui semble correspondre à la période où il apporta des soins à sa mère, gravement malade grâce à des remèdes homéopathiques.

Ignaz von Péczely, père de l'iridologie empirique et moderne

C’est ainsi que les gens ont commencé à lui demander des conseils médicaux. C’est-à-dire qu’il accompagna volontiers des connaissances et voisins avec des traitement homéopathiques qu’il reçut de son beau-frère, János Gulyás, médecin homéopathe à Kaposvár.

Il aida à guérir notamment un homme avec un tel résultat que sa renommée grandit dans la région. Péczely vit ainsi affluer chez lui de nombreuses personnes, dont Imre Madách qui lui fit part de ses symptômes.

Il faut savoir que Imre Madách n’est pas n’importe lequel de ses contemporains. Tout d’abord, il sortit avocat de ses études universitaires. De plus, Il était le fils d’un médecin et chambrier. Durant sa vie, il fut un fonctionnaire emprisonné pour ses positions après avoir hébergé un Révolutionnaire durant la guerre d’intépendance face à l’Autriche.

Puis, il fut reconnu poète et dramaturge. L’amenant, en 1863, a devenir l’un des membres de l’Académie hongroise des Sciences. L’histoire raconte que le poète lui fit part de ses symptômes malgré une certaine méfiance en prim à bord. Autant qu’il lui accordera, par la suite, une grande confiance.

C’est à cette époque, dit-on, qu’il se souvint de l’incident de l’œil du hibou. Alors qu’il examinait une personne, il fut surpris d’observer une ligne blanche dans l’iris à 6 heures. Une ligne semblable à celle de l’iris du hibou convalescent de son enfance.

C’est ainsi qu’il découvrit qu’il s’agissait d’une indication de tissu cicatriciel dans la jambe lorsque la personne lui confia s’être fracturé la jambe précédemment.

Une foule de personnes qui se rend au même endroit en même temps ne peut qu'être visible

Ceci dit, il commença à étudier les yeux des personnes qui le sollicitaient. Il trouva des corrélations entre les marques de leur iris et leur état de santé (en fonction des blessures et des maladies). 

Finalement, la renommée de cette méthode unique s’est rapidement répandue dans tout le pays. Les foules se pressaient chez lui. Ainsi, la naissance de l’iridologie moderne aurait eu lieu vers 1861. 

Effectivement, on imagine aisément l’euphorie dont il fut le témoin. De la même manière que ce fut le cas pour Bruno Gröning en son temps, près d’un siècle plus tard. Lui aussi devant faire face à des foules extrêment impressionnantes qui le sollicitaient.

Bientôt, les autorités intervinrent. Alors même qu’un médecin allopathe accusait von Péczely d’être un « charlatan »,  le jeune hongrois le regarda dans les yeux et lui répondit : Vous avez souffert de … (telle ou telle maladie) « qui ont été faussement traitées ». Le médecin, surpris, admis l’exactitude de ce que von Péczely avançait et cessa de parler de fraude.

Malgré cela, les autorités le poursuivirent. C’est ainsi, qu’il fut interdit de pratique pour le motif d’exercice illégal de la médecine.

Péczely aurait indiqué : « Du début du mois de mai au 2 octobre 1862, date à laquelle j’ai été interdit de pratique par le médecin-chef du comté de Vas, 10 à 12 000 personnes m’ont rendu visite à Egervár. »

L’histoire aurait pu se terminer là … Pourtant ça en fait une sacrée collection d’iris, d’observations et de corrélations. Avez-vous un jour ressenti comme un appel où tout semble vous porter vers votre destinée ?

De toute évidence, il semble que ce fut le cas pour cet hongrois. Car peu de temps après cet événement, Péczely s’inscrit à l’Université de Pest, au centre d’un quartier de Budapest en 1863. La même Université que fréquenta Imre Madách de 1837 à 1842.

Péczely a alors 36 ans lorsqu’il commence à étudier la médecine allopathique. Il rejoint la faculté de médecine de Vienne, au Vienna Medical College où il obtient son diplôme de docteur en médecine en 1868, à l’âge de 41 ans.

Durant son internat, il eut tout le loisir de poursuivre ses recherches en iridologie. A savoir qu’il étudiait les iris de patients hospitalisés avant et après des opérations. De cette façon, il put vérifier de façon systématique ses observations antérieures et étendre ses connaissances scientifiques.

En outre, il a pratiqué de nombreuses autopsies, confirmant l’existence de maladies qu’il avait estimées à partir des iris des patients avant leur mort.

Durant toute cette période, il acquiert une grande expérience dans le « diagnostic oculaire ».

A travers ses nombreuses observations iriennes, Ignác put élaborer une théorie selon laquelle il existerait une relation réflexe entre les différentes marques de l’iris et le reste du corps.

C’est ainsi qu’il créé une « carte de l’œil » où il attribue des parties du corps et des organes internes à des points individuels de l’iris. Selon sa théorie, nous pouvons observer des changements tissulaires dans l’iris à ces endroits. Qui peuvent témoigner de changements tissulaires des organes concernés.

Ensuite, il s’installe à Pest pour exercer. Mais, malgré son diplôme de médecine, il suscite toujours la méfiance de ses confrères médecins universitaires.

Surtout que Péczely est devenu Médecin Homéopathe. Il pratique une médecine que les médecins universitaires jugent de « médecine de charlatans ». Et il continue d’observer les nombreuses paires d’iris de ses patients.

Sans compter qu’il va jusqu’à compléter sa pratique privée du traitement homéopathique par un système de diagnostic de l’iris et perfectionne sa méthode.

Ainsi, sur la base de ces découvertes, Ignác a conçu le tout premier diagramme d’iris. Une sorte de tableau de l’iris que l’on appelle également, en iridologie moderne : cartographie ou topographie.

Dès 1873, il publie plusieurs ouvrages en lien avec l’iris. Son livre « Introduction à l’étude du diagnostic par les yeux » a été publié à Budapest en 1880. Ainsi, il y a enregistré toutes ses découvertes et recherches dans le diagnostic à partir des iris des yeux. Et commence par l’épigraphe « L’oeil n’est pas seulement le miroir de l’âme, il est aussi le miroir du corps ».

Mais c’est en 1881, lorsqu’il publie un ouvrage « Découverte dans le domaine thérapeutique et du naturisme. Introduction à l’étude du diagnostic par les yeux » que la polémique fait rage.

De surcroît, ce livre dérange et on tentera de l’étouffer au mieux. Durant de nombreuses années, il sera décrédibilisé, moqué, insulté, tourné en dérision par ses « pairs ».

C’est précisément, Ignác von Peczely qui publia la toute première topographie d’iris en allemand en 1886 dans la feuille hebdomadaire homéopathique. Il est l’un des premiers à publier une carte européenne des iris qui est, aujourd’hui encore, reliée à la renaissance moderne de l’Iridologie.

Et contre toutes attentes, ce seront les Docteurs Homéopathes Emil SCHLEGEL et Alfred STIEGELE qui favoriseront la diffusion de l’Iridologie moderne par leurs travaux.

Ce qui déclenchera chez d’autres des vocations amenant des explorations, des travaux, des recherches, des cartographies et mêmes des livres présentant l’Iridologie moderne à leur compatriotes. 

Mais encore, toute cette dynamique permit à Ignác, vers la fin de sa carrière, de gagner le respect qui lui était dû.

En définitive, le Docteur Ignaz von Péczely pratiqua jusqu’à la fin de sa vie, soit jusqu’à ses 85 ans. Et s’éteignit le 14 juillet 1911 à Monyorókerék en Hongrie, dans sa maison. Loin de se douter que tant de chercheurs allaient à leur tour, donner l’essor que l’on connaît à la pratique de l’Iridologie moderne, aujourd’hui encore. 

Vous comprenez maintenant pourquoi il était important de ne pas se limiter à raconter l’anecdote d’Ignác Péczely et de son Hibou. Ceci n’aurait eu pour seul résultat que de réduire ses 85 années à une seule anecdote. Mais est-elle une réalité ? Mythe ou légende ? Peu importe .. non ?

Effectivement, il est décrit par certains comme l’un des médecins les plus connus et polémiques de Budapest. Cependant, nous pouvons également constater que l’Histoire n’a pas retenu le nom de ses virulents contemporains qui lui attribuaient l’étiquette de « charlatan ». Contrairement à ce médecin homéopathe hongrois qui pratiquait l’iridologie.

Avant tout, l’ironie de cette Histoire est spendide. L’étiquette de « charlatan » qui lui fut attribué durant un temps est remplacée par une magnifique plaque commémorative à l’adresse où il a vécu à Budapest.

Quel plus beau témoignage qu’une commémoration qui honore la personne qu’il fut ?

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