Découvrez ce grand Homme de renommée mondiale, connu comme précurseur d'idées modernes : le Pr Antoine Béchamp. Antoine Béchamp est né le 15 octobre 1816 à Bassing, en Moselle, où son père exerçait...
Pr Antoine Béchamp : un scientifique visionnaire et son influence sur l’iridologie
Pr Antoine Béchamp : un scientifique visionnaire et son influence sur l’iridologie
Découvrez ce grand Homme de renommée mondiale, connu comme précurseur d’idées modernes : le Pr Antoine Béchamp.
Antoine Béchamp est né le 15 octobre 1816 à Bassing, en Moselle, où son père exerçait comme meunier. Grâce à son oncle maternel, consul de France en Roumanie, il part à 11 ans suivre des études à Bucarest.
Malheureusement, son oncle est mort d’une épidémie de choléra en 1834, ce qui a contraint Béchamp à retourner en France. Il a alors obtenu le titre de Maître en Pharmacie et un certificat élogieux le qualifiant de « sujet exceptionnel« .
Tout en travaillant dans une pharmacie de Benfeld, ayant suivi ses études en roumain jusqu’à lors, il a dû réapprendre le français. Mais également reprendre ses études en France afin de se faire une situation pour épouser sa fiancée Françoise Clémentine Mertian (les fiançailles durèrent 7 ans et on comprend bien pourquoi). En 1846, il a ouvert une pharmacie à Strasbourg.
Il a poursuivi ses études en faculté et a présenté trois thèses remarquées pour devenir Docteur en Pharmacie en 1851 avec « De l’air atmosphérique, considéré sur le point de vue de la physique, de la chimie et de la toxicologie », Docteur en Sciences (Physique et Chimie) en 1853 avec « Recherches sur pyroxyline en chimie, De la chimie et de la toxicologie » et Docteur en Médecine en 1856 avec « Essais sur les substances albuminoïdes et sur leur transformation en urée ».
Après avoir été Agrégé de l’école de Strasbourg où il a enseigné la physique, la chimie et la toxicologie jusqu’en 1856, il fut nommé professeur de Physique et de Chimie à l’université de Montpellier où il a enseigné pendant 20 ans.
Antoine Béchamp et ses recherches
Tout en enseignant pendant vingt ans, Antoine Béchamp poursuit ses recherches sur la pébrine, la fermentation du vin et la transformation des sucres par les moisissures. Son fils aîné, Joseph, participe à ses travaux.
En 1858, Béchamp est le premier à démontrer que les moisissures qui accompagnent la fermentation sont des organismes vivants ou en contiennent.
C’est six ans avant que Pasteur ne parvienne aux mêmes conclusions. Premier à réaliser que ces ferments sont des organismes vivants, il est aussi le premier à tenter de déterminer leur véritable nature. Il observe au microscope une grande diversité dans l’aspect des moisissures et s’engage rapidement dans l’étude de la vie cellulaire.
En 1876, Antoine Béchamp devient le Doyen de la faculté libre de médecine de Lille, où ses travaux se heurtent à l’hostilité des autorités ecclésiastiques. Suite aux différends qui l’opposent à Louis Pasteur à partir de 1881, il doit démissionner de son poste en 1888, et son fils fait de même.
Il achète alors une pharmacie au Havre, ville natale de l’épouse de Joseph. Mais au décès de son fils, il part s’installer à Paris, où il poursuivit ses expériences dans un laboratoire de la Sorbonne mis à sa disposition par un de ses amis, Charles Friedel. Laboratoire où il y travaillera jusqu’en 1899.
Béchamp, en plus de ses travaux en chimie et biochimie, a élaboré la théorie des microzymas, qui sont les plus petites particules de vie que l’organisme humain possède et qui se réorganisent sans disparaître après la mort de l’individu.
Il a également présenté la théorie cellulaire (polymorphisme), selon laquelle les maladies transforment les microbes en agents pathogènes.
Plusieurs scientifiques ont par la suite confirmé l’existence des microzymas de Béchamp qu’ils ont observés et nommés de différentes manières : Royal Raymond Rife (particules polymorphes, 1920), Günther Enderlein (protites, 1925), Wilhelm Reich (bions, 1930), et Gaston Naessens (somatides, 1959), et plus récemment, le Pr. Montagnier (mycoplasmes, 1990).
Les micro-organismes deviennent des pathogènes ou des symbiotes qui vivent avec nous en fonction du terrain ou de la « santé » de l’individu.
Dans des conditions normales, il y a 10 fois plus de cellules bactériennes que de cellules symbiotes dans notre corps.
D’autres découvertes ont montré qu’il y a beaucoup plus de micro-organismes que ce que la médecine enseigne, mais qu’ils ne sont pas détectés par les techniques validées et apparemment obligatoires de la microbiologie.
Il suffit de les observer avec un autre microscope, ce qui remettrait en cause la théorie de Pasteur et du micro-organisme pathogène. Mais la communauté scientifique est-elle prête à assumer cette escroquerie qui n’a duré que trop longtemps ?
Antoine Béchamp et son héritage
Les travaux de Béchamp sont considérables, mêmes si ces derniers ne sont pas connus du Grand Public.
Voici quelques points qui reprennent sa théorie :
- Les maladies sont causées par des micro-organismes présents à l’intérieur des cellules de l’organisme.
- Ces micro-organismes ont une fonction normale de développement et de contribution aux processus métaboliques de l’organisme.
- Toutefois, leur fonction peut changer pour participer aux processus de dégradation (catabolisme) de l’organisme hôte lorsque celui-ci est endommagé, que ce soit de manière chimique ou mécanique.
- Les micro-organismes ont la capacité de changer de forme et de couleur pour s’adapter à leur environnement.
- Chaque maladie est liée à un état spécifique de l’organisme.
- Les micro-organismes deviennent « pathogènes » lorsque la santé de l’hôte se détériore, ce qui en fait l’agent causal principal.
- La maladie se développe à partir de conditions malsaines à l’intérieur de la cellule
Il s’éteint le 15 avril 1908 à Paris, à son domicile dans le 5ème arrondissement.
En juillet 2017, le Professeur André Fougerousse, chimiste de renom et ancien Doyen de la Faculté de chimie de l’Université de Strasbourg, a écrit une lettre ouverte au ministre français de la santé, déplorant les « dogmes erronés de Pasteur » et appelle à ce que les travaux de Béchamp et Tissot soient repris avec les moyens modernes par des chercheurs indépendants. Ceci avant toute cette folie qui se déroulera dès mars 2020 …
En janvier 2019, un article intitulé « Multi-Method Characterization of the Human Circulating Microbiom » (Caractérisation multi-méthodes du microbiome circulant humain) a discrètement présenté le concept de populations microbiennes dans des zones traditionnellement « stériles » telles que le sang comme une idée nouvelle. Cependant, ceux qui connaissent les travaux de Béchamp savent que ce concept n’est pas nouveau.
Début 2023, Céline Ripoll, l’une des descendantes d’Antoine Béchamp, se réjouie que son ancêtre soit encore « un peu connu ». Elle fait également part de la souffrance toujours palpable au sein de la famille face à l’injustice subie et à l’imposture de Pasteur.
Cependant, je souhaite qu’elle sache que l’héritage d’Antoine Béchamp se perpétue parmi les naturopathes qui le considèrent comme un « Gardien du Vivant » et ses travaux sont encore enseignés aujourd’hui.
Qu’elle sache que pour nous tous, « Pasteur est le passé, Béchamp est l’avenir« .
Antoine Béchamp croyait en la valeur de la vérité par-dessus tout, et sa vie et son œuvre continuent d’être honorées en conséquence.
Le temps est l’allié de la Vérité.
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